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Comité Exécutif

Le comité exécutif se compose du président, du président désigné, du président sortant, du trésorier, du secrétaire, du rédacteur en chef de la Revue canadienne de sociologie, de l’agent des communications (également appelé « Cadres ») et des présidents des sous-comités suivants : contre l’islamophobie; caucus Noir; décolonisation; équité; affaires francophones; justice pour la Palestine; Engagement public et préoccupations professionnelles; consultatif sur la recherche; et les préoccupations des étudiant.e.s (également appelé « Administrateurs »).

Les cadres sont élus pour un mandat de trois ans par les membres pour remplir leurs fonctions. Leur mandat peut être prolongé pour une année, à l’exception de celui du président, sur autorisation du comité exécutif. Les administrateurs sont choisis par leur sous-comité particulier et peuvent siéger au comité exécutif pendant un à trois ans.

2024-2025 Comité exécutif

 

Sous-comités de la Société canadienne de sociologie


 

Président : Dr Liam Swiss

Liam Swiss est professeur de sociologie et directeur du département de sociologie de l’université Acadia. Ses recherches portent sur l’aide étrangère, le développement mondial, la politique d’aide canadienne et l’égalité des sexes. Sa Subvention de développement Savoir (SDS) du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) (avec le Dre Lisa Kaida, McMaster University) examine la relation entre l’aide étrangère canadienne et le comportement d’envoi de fonds des migrants au Canada provenant de pays à revenus faibles et moyens. Ses recherches ont été publiées dans des revues telles que l’American Sociological Review, Social Forces, Social Science Research et World Development. Il est l’auteur du livre The Globalization of Foreign Aid : Developing Consensus (Routledge 2018). Il a été deux fois président de l’Association canadienne d’études du développement international et cofondateur du groupe de recherche en sociologie du développement de la Société canadienne de sociologie (SCS).

Président désigné : Dr Mark C.J. Stoddart

Mark Stoddart est professeur de sociologie à l'université Memorial. Ses domaines de recherche, d'enseignement et d'encadrement des étudiants comprennent la sociologie environnementale, la sociologie politique et les mouvements sociaux, ainsi que la communication et la culture. Ses principales recherches actuelles portent sur les dimensions sociologiques du changement climatique, les transitions pétrolières et énergétiques et le développement d'un tourisme durable. Il est co-auteur du livre Industrial Development and Eco-Tourisms : Can Oil Extraction and Nature Conservation Co-Exist ? (Palgrave). Grâce à une analyse comparative du Danemark, de l'Islande, de Terre-Neuve-et-Labrador, de la Norvège et de l'Écosse, ce projet offre des enseignements précieux sur la manière dont les sociétés côtières peuvent mieux gérer les relations entre l'extraction des ressources et le tourisme axé sur la nature dans le contexte du changement climatique. Il est co-éditeur du Handbook of Anti-Environmentalism (Elgar) et de Revitalizing PLACE through Social Enterprise (Memorial University Press) et est rédacteur en chef adjoint de la revue Environmental Sociology. M. Stoddart est membre du Collège des nouveaux chercheurs, artistes et scientifiques de la Société royale du Canada. Il est également le lauréat 2024 du Dean's Award for Distinguished Scholarship de la Faculté des sciences humaines de l'Université Memorial.

Ancienne président : Dr Temitope Oriola

Temitope Oriola est professeur de criminologie/sociologie et doyen associé de la faculté des arts de l’université d’Alberta. Il est un universitaire et un intellectuel public exemplaire, connu pour ses recherches sociologiques sur le terrorisme et le maintien de l’ordre, son leadership et ses services dans sa discipline, ainsi que pour son engagement à mobiliser les connaissances en faveur d’un débat public éclairé. À l’échelle internationale, il est connu pour ses travaux sur le terrorisme. Au Canada, les travaux du professeur portent sur le maintien de l’ordre et le recours à la force. Chercheur et enseignant émérite, Temitope Oriola a reçu de nombreuses distinctions nationales et internationales, notamment une bourse Alexander von Humboldt et une bourse nationale Dorothy Killam, dont il est l’un des huit lauréats au Canada.

Le professeur est l’un des intellectuels publics les plus demandés au Canada en matière de réforme de la police. Il a été conseiller spécial du gouvernement de l’Alberta pour la révision de la loi sur la police. Il est membre du conseil d’administration de la Fédération des sciences humaines et chroniqueur au Edmonton Journal. Temitope Oriola est aussi lauréat d’autres prix, notamment de la Médaille d’or académique du Gouverneur général du Canada (2011), du Carnegie African Diaspora Fellowship (2015 et 2017), du Kathleen W. Klawe Prize for Excellence in Teaching (2020), du Confederation of Alberta Faculty Associations (CAFA) Distinguished Academic Award (2022), de l’Arts Research Excellence Award (2022) et du Rosalind Smith Award (2023). Sur recommandation de l’Assemblée législative de l’Alberta en janvier 2023, le professeur a reçu la Médaille du jubilé de platine de la Reine Elizabeth II pour « ses qualités exceptionnelles et les services remarquables rendus à notre province dans le domaine de l’enseignement supérieur et du service public ».

Trésorièr : Dr Qiang Fu

Qiang Fu est professeur associé de sociologie à l'université de la Colombie-Britannique (UBC). Il codirige le Centre for Chinese Research et préside les études supérieures en sociologie à l'UBC. Ses récentes publications sont parues dans des revues telles que la Canadian Review of Sociology, l'American Journal of Epidemiology, l'American Journal of Sociology, les Annals of the American Association of Geographers, les Annals of Epidemiology, le Journal of the Royal Statistical Society : Series A, et Sociological Methods & Research. Ses recherches en cours, soutenues par deux subventions Savoir du CRSH accordées en 2021 et 2024, adoptent une approche réflexive, historique, critique, comparative et computationnelle pour étudier l'intégration sociale, la vie quotidienne et l'orientation politique des immigrants et des minorités d'un océan à l'autre.

Secrétaire : Dre Zohreh BayatRizi

Zohreh BayatRizi est professeure associée de sociologie à l’université d’Alberta. Elle est titulaire d’une maîtrise et d’un doctorat de l’université de Colombie-Britannique et d’une licence de l’université de Téhéran. Elle s’intéresse principalement à l’histoire de la sociologie, à la sociologie de la mort et des mourants et à la sociologie de l’Iran. Elle est l’auteure de Life Sentences : The Modern Ordering of Mortality. Elle donne des cours de théorie sociale, de sociologie de la mort et d’introduction à la sociologie. Elle a déjà fait partie du sous-comité consultatif de recherche de la SCS et a présidé le groupe de recherche sur la théorie sociale.

Responsable de la communication : 

Rédacteur en chef de la Revue candienne de sociologie : Dr. Dominique Clément

Dominique Clément est professeur au département de sociologie de l’Université d’Alberta et membre de la Société royale du Canada (SRC). Il est l’auteur des ouvrages primés suivants : Canada's Rights Revolution, Equality Deferred, Human Rights in Canada et Debating Rights Inflation. Ses collections éditées comprennent Alberta’s Human Rights Story et Debating Dissent. Dominique Clément est chercheur invité en Australie, en Belgique, en Chine, en Irlande et au Royaume-Uni. Il a beaucoup écrit sur les droits de la personne, les mouvements sociaux et les études juridiques. Il a été consultant pour la Commission canadienne des droits de la personne et fait partie du conseil d’administration de plusieurs organismes communautaires, notamment le John Humphrey Centre for Peace and Human Rights et l’Association canadienne des libertés civiles. Ses sites Web, HistoryOfRights.ca et statefunding.ca, servent de portails de recherche et d’enseignement sur l’étude des droits de la personne et des mouvements sociaux au Canada.

Co-présidente du sous-comité contre l’islamophobie : Dre Nadiya Ali

Nadiya Ali poursuit une carrière internationale multidisciplinaire en sciences sociales, en particulier sur la race, la racialisation, la production culturelle et la recherche sur l’action communautaire. Elle accorde une attention particulière à l’examen et au soutien innovant des voies de résistance et de formation du sujet qui sont tracées par les populations victimes de structures racialisantes et marginalisantes, en accordant une attention particulière à l’islamophobie anti-noire et au racisme anti-musulman. De manière plus générale, ses travaux s’inscrivent dans le cadre des études des Noirs, des études ethniques critiques et des études musulmanes critiques et continuent de s’en inspirer. Nadiya Ali occupe actuellement un poste de professeure adjointe à la faculté de sociologie de l’université de Trent et est la cofondatrice et la présidente du sous-comité contre l’islamophobie nouvellement créé.

Co-présidente du sous-comité contre l’islamophobie : Dre Ayesha Mian Akram

Ayesha Mian Akram est professeure adjointe (enseignement) au département de sociologie de l'université de Calgary. Elle a obtenu son doctorat en 2023 à l'Université de Windsor, où sa thèse, financée par le CRSH, portait sur le renforcement de la communauté des femmes musulmanes et la politique de résistance par le biais du bien-être. Ses expériences communautaires et universitaires l'ont amenée à élaborer un programme d'études à l'intersection du genre, de la racialisation, des méthodologies de recherche émergentes et de la science de l'enseignement et de l'apprentissage. Ayesha participe à la CSA depuis 2015 par l'entremise du sous-comité des préoccupations étudiantes, du sous-comité des questions d'équité et du caucus des femmes, et elle est maintenant heureuse d'être la cofondatrice et la coprésidente du sous-comité de lutte contre l'islamophobie.

Co-présidente du caucus Noir : Dre Johanne Jean-Pierre

Johanne Jean-Pierre est professeure adjointe à la faculté de sociologie de l’Université York. Elle mène des recherches en anglais et en français dans les domaines de la sociologie de l’éducation, de la sociologie de la race et de l’ethnicité, des études sur la jeunesse et de la méthodologie de recherche. Ses recherches portent sur les facteurs sociaux, culturels et politiques qui façonnent les trajectoires scolaires et postsecondaires des enfants, des jeunes et des jeunes adultes marginalisés et minorisés. Ses recherches antérieures et en cours portent plus particulièrement sur les expériences des minorités de langues officielles, des jeunes nouveaux arrivants et des Canadiens noirs. Johanne Jean-Pierre est cofondatrice et présidente du Caucus noir 2023-2024.

Co-présidente du caucus Noir : Dre Giselle Thompson

Giselle Thompson est professeure adjointe d'études noires en éducation à l'Université de l'Alberta, où elle enseigne dans le cadre de la spécialisation en justice sociale et études internationales en éducation et du programme de baccalauréat en éducation. Ses recherches primées se situent au carrefour des études critiques des sociologies de la race, de l'éducation, du genre, de la diaspora et du développement international, et cherchent à comprendre comment le colonialisme, le capitalisme racial, la suprématie blanche et la modernité opèrent à l'échelle mondiale et sont impliqués dans la (mauvaise) éducation actuelle des Noirs. Elle s'intéresse particulièrement à la manière dont le racisme anti-Noir sous ses diverses formes, y compris, mais sans s'y limiter, le manque d'accessibilité, le manque de ressources et les lacunes des programmes scolaires, entravent l'apprentissage holistique des enfants et des jeunes noirs en âge d'aller à l'école et des groupes diasporiques, tant dans les contextes locaux que transnationaux. Son projet de recherche actuel examine la manière dont le phénomène transhistorique du travail maternel noir est déployé dans les écoles et dans d'autres lieux d'apprentissage pour résister à ces maladies sociales, tout en transmettant une éthique de l'amour, de l'attention et de la sollicitude.

Co-présidente du sous-comité sur la décolonisation : Dre Sofia Locklear

Sofia Locklear est professeur adjoint de sociologie à l'Université de Toronto Mississauga. Elle est membre de la tribu Lumbee de Caroline du Nord et Ukrainienne de troisième génération originaire de Kenora, en Ontario. Ses recherches portent sur la racialisation des populations autochtones en Amérique du Nord. Elles portent notamment sur la formation de l'identité blanche, les résultats en matière de santé et d'éducation pour les populations autochtones, ainsi que sur l'évaluation autochtone appliquée dans le domaine de la santé publique.

Co-présidente du sous-comité sur la décolonisation : Dre Yvonne Sherwood

Yvonne P. Sherwood est professeure adjointe à la faculté de sociologie de l’université de Toronto Mississauga. Son travail est ancré dans et par l’organisation et l’activisme de première ligne des femmes autochtones. Elle est originaire de Spokane-Cœur d’Alene et a grandi dans la réserve de la nation Yakama, dans l’actuel État de Washington. Ces lieux et ces relations sont à la base de son travail. Dans cette perspective, Yvonne Sherwood étudie les politiques de la connaissance, l’environnementalisme et le droit en mettant l’accent sur l’interaction du colonialisme de peuplement, de la suprématie blanche et de l’hétéropatriarcat. Elle contribue aussi à la revitalisation des langues et aux efforts de souveraineté alimentaire par son apprentissage et ses études.

Présidente du sous-comité sur les questions d’équité : Dre Jessica Braimoh

Jessica Braimoh est professeure adjointe à la faculté des sciences sociales de l’université de York. En tant que sociologue antiraciste, queer et féministe, Jessica Braimoh concentre ses recherches sur trois volets intégrés. Le premier volet étudie la façon dont la géographie influence la réponse institutionnelle aux désavantages sociaux. Elle s’intéresse ici à la manière dont les conceptions de la géographie sont intégrées dans les dimensions politiques et les réponses institutionnelles à l’inégalité et à la vulnérabilité. Son deuxième volet de recherche porte sur la manière dont les processus de criminalisation et de surveillance s’inscrivent dans de multiples systèmes de domination, notamment le colonialisme d’implantation, la suprématie blanche, le capitalisme et l’hétéropatriarcat. Dans son troisième volet, elle explore la coordination des processus sociojuridiques entre de multiples organisations et institutions publiques. Guidée par les principes de la justice sociale, la recherche de Jessica Braimoh contribue à la compréhension de la manière dont les catégories politiques et les pratiques institutionnelles apparemment neutres exacerbent et rationalisent les relations d’exclusion et d’oppression historiquement enracinées.

Président du sous-comité des affaires francophones : Dr Guillaume Durou

Guillaume Durou est professeur adjoint au Campus Saint-Jean. Ses domaines de recherche comprennent la sociologie historique du Canada et du Québec, la sociologie historique de la famille, l’antisémitisme, l’histoire du capitalisme, l’analyse des classes, les théories des classes sociales et la francophonie occidentale. Il est cofondateur de la sous-commission des affaires francophones et du Prix d’excellence en sociologie de langue française. De plus, il a fondé le pôle de recherche en sociologie marxiste et préside le pôle de recherche en sociologie comparative et historique.

Co-présidente du sous-comité Justice pour la Palestine: Dre Katie MacDonald

Katie MacDonald (elle/il) est professeure agrégée de sociologie et de MAIS à la Faculté des sciences humaines et sociales de l'Université d'Athabasca. Elle est une chercheuse engagée dans la communauté située à amiskwaciwâskahikan, ou ce qui est actuellement connu sous le nom d'Edmonton. Elle s'intéresse à la façon dont les gens travaillent collectivement et à l'apprentissage dans ces espaces. Elle s'intéresse aux questions liées au logement abordable au Canada et aux expériences de solidarité transnationale.

Co-président du sous-comité Justice pour la Palestine: Dr Christopher Powell

Christopher Powell est professeur associé au département de sociologie de l'Université métropolitaine de Toronto. En tant que théoricien de la sociologie, il a travaillé sur les études du génocide, contribuant à développer une approche critique, décoloniale et pluriverselle des politiques antigénocidaires. Plus récemment, il a travaillé sur la sociologie relationnelle et la théorie des systèmes complexes en relation avec la praxis socialiste. Il est l'auteur de Barbaric Civilization : A Critical Sociology of Genocide (MQUP) et co-éditeur de Conceptualizing Relational Sociology Ontological and Theoretical Issues and Applying Relational Sociology Relations, Networks, and Society (Palgrave). Chris est membre de la section TMU de Faculty for Palestine.

Président du sous-comité sur l'engagement public et préoccupations professionnelles : Dr Eloy Rivas-Sánchez

Eloy Rivas-Sánchez est professeur associé de sociologie au Centre des sciences sociales de l'université d'Athabasca. Il est titulaire d'un doctorat en sociologie de l'université Carleton, avec une spécialisation en économie politique, où il est également nommé professeur auxiliaire de recherche.

Eloy fait partie de plusieurs conseils et comités scientifiques/académiques au Canada et dans le monde, tels que le comité d'éthique de la recherche de l'université d'Athabasca, le RC47 de l'Association internationale de sociologie, la chaire UNESCO sur la démocratie, la citoyenneté mondiale et l'éducation transformatrice, et le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. Ses recherches sociologiques en cours, son service à la communauté et ses publications portent sur des sujets fortement liés aux questions éthiques et à la pratique professionnelle des sociologues, tels que l'activisme dans la recherche, la sociologie publique, les pratiques de travail illégales, les migrations sans papiers, entre autres.

Présidente du sous-comité consultatif de la recherche : Dre Kara Brisson-Boivin

Kara Brisson-Boivin est la directrice de recherche de MediaSmarts, le centre canadien à but non lucratif pour l'éducation aux médias numériques. Elle est responsable de la planification, de la méthodologie, de la mise en œuvre et de la diffusion des principaux résultats des études de recherche originales de MediaSmarts ainsi que des évaluations des programmes de MediaSmarts. Mme Brisson-Boivin est également professeure adjointe de recherche au département de sociologie de l'Université Carleton. Elle travaille avec un certain nombre de partenaires sur des questions en ligne, notamment le bien-être numérique, l'équité et l'inclusion numériques, la vie privée, la haine, l'activisme, les algorithmes et l'intelligence artificielle. Elle dirige les efforts de MediaSmarts pour centrer et renforcer les voix des jeunes dans le domaine de l'éducation aux médias numériques, ainsi que leur plaidoyer en faveur d'une stratégie nationale d'éducation aux médias numériques pour le Canada.

Président du sous-comité sur les préoccupations des étudiant.e.s : J Overholser

J. Overholser est doctorant à l’université de Calgary. Son travail, tant dans le domaine universitaire en tant que chercheur en études queer et trans* qu’au sein de la communauté et du service public, s’est appuyé sur des théories sociales critiques. Ainsi, J Overholser met l’accent sur la nécessité d’appliquer la recherche universitaire, les connaissances et les enquêtes pour lutter contre les inégalités contemporaines et la marginalisation auxquelles sont confrontées diverses communautés et leurs membres. Avec cette fondation, J Overholser se concentre également sur l’amélioration de l’accessibilité et de l’inclusivité des institutions et des espaces universitaires et de recherche. J Overholser est très enthousiaste à l’idée d’apporter à ce poste son expérience universitaire et son expérience en matière de sensibilisation de la communauté 2SLGBTQ+. Notamment lorsqu’il s’agit de collecter et de diffuser des informations et des ressources pour répondre aux inquiétudes de la communauté, de poursuivre la mise en place de réseaux de mobilisation des connaissances pour soutenir les étudiants diplômés, et de s’engager dans des méthodes de communication accessibles et informelles.